- 11 sept. 2014, 22:00
#940969
Bonjour à tous.
Je me suis inscrite ici parce que je ressens le besoin fort de parler, et je ne veux pas embêter davantage mes amis.
J'ai perdu mon amour, et je n'arrive pas à me dire que je ne le retrouverai jamais...
On était ensemble depuis 1 an et demi. Il était ma première véritable relation (j'ai 20 ans aujourd'hui), et au début j'ai mis un certain temps à m'investir pleinement. Lui avait déjà eu des copines, mais jamais rien de sérieux, et aucune de ses relations n'avait duré plus de deux mois.
Très vite, il m'a dit qu'il m'aimait, et ça se voyait. Il était extrêmement attentionné, parfois presque envahissant, et j'ai pris peur, j'ai compris que ça pouvait très vite devenir très sérieux entre nous, et je l'ai quitté après 6 mois de relation parce que je ressentais le besoin de souffler un peu, j'avais envie d'être seule, d'autant plus que je redoublais ma première année de médecine (lui passait en 2ème), et ça me faisait peur, je voulais accorder toute mon attention au travail.
Mais je me suis alors rendue très vite compte que ce n'était pas terminé, il me manquait chaque jour un peu plus, et on a fini par se remettre ensemble après un mois de rupture. Lui l'avait très très mal vécue, il avait beaucoup souffert, et il m'a avoué avoir couché avec une autre fille pendant qu'on était plus ensemble. Ca m'a fait mal, mais il fallait bien que j'assume les conséquences de ma piètre décision...
Là, ça a duré un gros mois, il était un peu distant, il avait du mal à s'investir à nouveau comme avant, il avait peur que je le quitte à nouveau. Alors finalement, c'est lui qui m'a requittée en octobre, cette fois c'est lui qui ressentait le besoin d'être seul. Mais trois jours après j'ai pris des distances, et il est revenu au galop car ne l'a pas supporté.
Et là, on a été plus heureux ensemble que jamais. Je me suis mise à vivre chez lui, et on passait toutes nos journées ensemble, c'était l'entente parfaite, on parlait de futur sans arrêt, il disait sans cesse qu'un jour il m'épouserait. Je travaillais énormément, et il était toujours là pour moi, je craquais régulièrement, et à chaque fois il me remettait sur mes pieds.
Et puis en juin dernier, j'ai appris que médecine c'était terminé pour moi, et je ratais de très peu. Là j'ai sombré, je me suis mise à déprimer complètement, et lui croyait qu'il n'arrivait plus à me rendre heureuse.
Il s'est lentement éloigné, tandis que je tentais désespérément de garder la tête hors de l'eau en m'appuyant sur lui. Et puis je suis rentrée de mon été fin aout, il était toujours aussi distant, alors on s'est à nouveau quittés.
Et depuis, j'ai l'impression de me noyer, il était la seule chose qui me donnait envie de me lever le matin, il était l'amour de ma vie, il était mon meilleur ami, mon confident absolu, et voilà qu'il est parti.
Ca fait deux semaines, on a essayé de rester en contact, on a même recouché ensemble une fois, il disait que c'était très important pour lui qu'on garde le contact, il disait que je pouvais l'appeler tous les jours à n'importe quelle heure... on se téléphonait tous les jours, et on s'envoyait des messages... Et puis vendredi dernier, il m'a fait une scène de jalousie parce que j'avais été boire un verre seule avec un ami, j'ai trouvé ça injuste, c'est lui qui avait voulu arrêter, il n'avait pas le droit de me demander de ne pas vivre ma vie (surtout que le mec en question il le connait et il sait qu'il ne se passera jamais rien)...
Et puis samedi, on s'est engueulé, j'avais essayé de le provoquer en disant que je sortais le soir (sous entendu, en célibataire quoi), et il l'a très mal pris, et depuis il est froid. Lundi, on ne s'est pas adressés la parole, mardi j'ai essayé de rétablir un contact, ça a moyennement marché, il m'a dit qu'il trouvait que ça restait bizarre entre nous, et puis hier, j'avais envie de lui parler d'un truc, et il me répondait par phrases super courtes, ou ne me répondait pas. Je me suis agacée, il a voulu m'appeler, j'ai refusé ses appels, m'a dit qu'il me rappelait plus tard, et ne l'a jamais fait.
Et aujourd'hui on devait aller au restaurant ce soir, pour se voir au calme, parler en live et pas par texto. Mais voilà, il m'a appelée pour me dire qu'il annulait, que des gens lui avait déconseillé d'y aller, et de continuer à me parler autant.
Alors je lui ai dis que c'était terminé, que je ne voulais plus lui parler.
donc voilà, je fais SR maintenant...
Mais c'est physique, il me manque atrocement, je m'endors malheureuse, et je me réveille angoissée par son absence.
C'est mon amour, on avait construit quelque chose de génial, et il arrête tout parce qu'il a "besoin d'être seul", et parce qu'il a énormément de travail. Et maintenant il se met à être froid et distant...
Je ne vais plus rien lui envoyer, on doit se voir demain pour se rendre des affaires, mais je n'irais pas, pour une fois c'est moi qui lui posera un lapin.
Je sais qu'il m'aime, je le connais par coeur, et là j'ai l'impression de revivre notre rupture de l'an dernier à la même époque, où on s'était ignorés un certain temps aussi, et où on s'était quitté pour les mêmes raisons, sauf que c'était moi qui en avait besoin...
Je me suis inscrite ici parce que je ressens le besoin fort de parler, et je ne veux pas embêter davantage mes amis.
J'ai perdu mon amour, et je n'arrive pas à me dire que je ne le retrouverai jamais...
On était ensemble depuis 1 an et demi. Il était ma première véritable relation (j'ai 20 ans aujourd'hui), et au début j'ai mis un certain temps à m'investir pleinement. Lui avait déjà eu des copines, mais jamais rien de sérieux, et aucune de ses relations n'avait duré plus de deux mois.
Très vite, il m'a dit qu'il m'aimait, et ça se voyait. Il était extrêmement attentionné, parfois presque envahissant, et j'ai pris peur, j'ai compris que ça pouvait très vite devenir très sérieux entre nous, et je l'ai quitté après 6 mois de relation parce que je ressentais le besoin de souffler un peu, j'avais envie d'être seule, d'autant plus que je redoublais ma première année de médecine (lui passait en 2ème), et ça me faisait peur, je voulais accorder toute mon attention au travail.
Mais je me suis alors rendue très vite compte que ce n'était pas terminé, il me manquait chaque jour un peu plus, et on a fini par se remettre ensemble après un mois de rupture. Lui l'avait très très mal vécue, il avait beaucoup souffert, et il m'a avoué avoir couché avec une autre fille pendant qu'on était plus ensemble. Ca m'a fait mal, mais il fallait bien que j'assume les conséquences de ma piètre décision...
Là, ça a duré un gros mois, il était un peu distant, il avait du mal à s'investir à nouveau comme avant, il avait peur que je le quitte à nouveau. Alors finalement, c'est lui qui m'a requittée en octobre, cette fois c'est lui qui ressentait le besoin d'être seul. Mais trois jours après j'ai pris des distances, et il est revenu au galop car ne l'a pas supporté.
Et là, on a été plus heureux ensemble que jamais. Je me suis mise à vivre chez lui, et on passait toutes nos journées ensemble, c'était l'entente parfaite, on parlait de futur sans arrêt, il disait sans cesse qu'un jour il m'épouserait. Je travaillais énormément, et il était toujours là pour moi, je craquais régulièrement, et à chaque fois il me remettait sur mes pieds.
Et puis en juin dernier, j'ai appris que médecine c'était terminé pour moi, et je ratais de très peu. Là j'ai sombré, je me suis mise à déprimer complètement, et lui croyait qu'il n'arrivait plus à me rendre heureuse.
Il s'est lentement éloigné, tandis que je tentais désespérément de garder la tête hors de l'eau en m'appuyant sur lui. Et puis je suis rentrée de mon été fin aout, il était toujours aussi distant, alors on s'est à nouveau quittés.
Et depuis, j'ai l'impression de me noyer, il était la seule chose qui me donnait envie de me lever le matin, il était l'amour de ma vie, il était mon meilleur ami, mon confident absolu, et voilà qu'il est parti.
Ca fait deux semaines, on a essayé de rester en contact, on a même recouché ensemble une fois, il disait que c'était très important pour lui qu'on garde le contact, il disait que je pouvais l'appeler tous les jours à n'importe quelle heure... on se téléphonait tous les jours, et on s'envoyait des messages... Et puis vendredi dernier, il m'a fait une scène de jalousie parce que j'avais été boire un verre seule avec un ami, j'ai trouvé ça injuste, c'est lui qui avait voulu arrêter, il n'avait pas le droit de me demander de ne pas vivre ma vie (surtout que le mec en question il le connait et il sait qu'il ne se passera jamais rien)...
Et puis samedi, on s'est engueulé, j'avais essayé de le provoquer en disant que je sortais le soir (sous entendu, en célibataire quoi), et il l'a très mal pris, et depuis il est froid. Lundi, on ne s'est pas adressés la parole, mardi j'ai essayé de rétablir un contact, ça a moyennement marché, il m'a dit qu'il trouvait que ça restait bizarre entre nous, et puis hier, j'avais envie de lui parler d'un truc, et il me répondait par phrases super courtes, ou ne me répondait pas. Je me suis agacée, il a voulu m'appeler, j'ai refusé ses appels, m'a dit qu'il me rappelait plus tard, et ne l'a jamais fait.
Et aujourd'hui on devait aller au restaurant ce soir, pour se voir au calme, parler en live et pas par texto. Mais voilà, il m'a appelée pour me dire qu'il annulait, que des gens lui avait déconseillé d'y aller, et de continuer à me parler autant.
Alors je lui ai dis que c'était terminé, que je ne voulais plus lui parler.
donc voilà, je fais SR maintenant...
Mais c'est physique, il me manque atrocement, je m'endors malheureuse, et je me réveille angoissée par son absence.
C'est mon amour, on avait construit quelque chose de génial, et il arrête tout parce qu'il a "besoin d'être seul", et parce qu'il a énormément de travail. Et maintenant il se met à être froid et distant...
Je ne vais plus rien lui envoyer, on doit se voir demain pour se rendre des affaires, mais je n'irais pas, pour une fois c'est moi qui lui posera un lapin.
Je sais qu'il m'aime, je le connais par coeur, et là j'ai l'impression de revivre notre rupture de l'an dernier à la même époque, où on s'était ignorés un certain temps aussi, et où on s'était quitté pour les mêmes raisons, sauf que c'était moi qui en avait besoin...