mais moi je n'ai jamais parlé de dépendance affective
d'abord, je ne sais pas ce que ça veut dire...je ne suis pas psy...
et comme je te l'ai déjà dit
il y a les mots et il y a tout ce qu'on transpire sans le dire...
tu sais Marc, à un moment donné, c'est juste faire un "constat": si on est bien dans ses jambes, on ne se rend pas malade pour une histoire de 4 mois qui prend fin...il y a des gens qui vivent ça 3 fois par an sans pbme particulier...que ça ne fasse pas plaisir on est d'accord, mais qu'on y reste scotché dans une grande douleur comme c'est ton cas, c'est nécessairement révélateur d'un dysfonctionnement EN NOUS.
Ce n'est pas du tout une critique!! je dis ça pour te faire prendre conscience, car tu patines comme une voiture sur le "j'ai fait ça j'aurai pas du, elle a peur parce que j'ai dit ça, mais si j'avais pas dit ça blablbla"
rien ne peut rendre amoureux quelqu'un. Elle ne l'était pas. Elle a eu un coup de coeur, 3 mois, et là où les choses doivent tourner en amour ou se terminer ben chez elle ça n'a pas tourné en amour...point. Y'a rien de plus compliqué à comprendre. C'est TOI qui dis qu'elle a eu peur, pas nous! et elle a dit ce qu'elle pouvait pour pas trop te blesser, donc le fameux "c'est pas toi c'est moi" ça fait toujours l'affaire
il n'y a rien de plus rien de moins à comprendre sur cette histoire. toutes les histoires ne fonctionnent pas, il ne faut pas toujours en référer à Freud hein !
le pbme là est plutôt la douleur dans laquelle cela te met, c'est là à mon avis qu'il faut faire appel à Freud
et tu ressens cette douleur parce qu'au moment où tu as été malade, tu as "tout donné" et "tout attendu" et c'est un dysfonctionnement. Qui a peut-être acceléré la rupture, je n'en sais rien, mais qui est surtout la raison pour laquelle tu ne "déscotches" pas...voilà pourquoi je te dis que tu dois refléchir sur toi, et ta vision de l'amour
et toi, tu restes encore et toujours sur CETTE histoire. Mais cette histoire, de gré ou de force, tu vas la digérer hein, tu as digéré la rupture d'avec ta femme, tu vas digérer celle-là je ne me fais aucun souci là dessus, mais si tu ne te décides pas à voir le pbme dans sa globalité, ben tu revivras encore et toujours ce même type d'histoire, même si tu te couds la bouche pour ne plus rien dire, car on communique ce qu'on EST bien plus fortement qu'avec des mots...