- 21 sept. 2014, 23:42
#945201
Ariane a écrit :Perdu, dans le fond je suis d'accord avec toi, une baffe est vite arrivée (valable aussi pour les parents) Mais quand je lis ça, je pense qu'on dépasse un peu le côté baffe sous l'impulsion...Pas moi. Notre société est devenue hystérique et procédurière, et maintenant, c'est comme ça que ça se passe. Moi, j'ai passé 3 mois en hosto alors que je me tuais à dire que j'allais bien et que je voulais qu'on me foute la paix. Quant au fait qu'une femme qui a peur, dans un contexte tendu et explosif depuis plusieurs jours, dans des circonstances de déchirement de couple appelle les forces de l'ordre dans un moment de panique, je ne vois rien d'étrange.
camillep a écrit :Ayant une famille en or , ma tante me previent qu elle viendra me chercher deux jours apres ... la il est devenu violent et me frappais pour un rien !!
jai eu peur jai appeller les forces de l ordre et jai passer la nuit au urgence sous surveillance ...
camillep a écrit :Après c'est comme tout, tout dépend ce que qu'on est capable de tolérer mais je continue de penser que quand l'un dis oui à tout et se transforme (elle dit elle-même qu'elle s'est transformée pour lui plaire) et que l'autre est à bout à cause de crises d'hystéries constantes, ben c'est que la relation n'est pas bonne.Je ne crois pas avoir dit que leur relation était bonne (même si encore une fois, je prends le truc avec des pincettes). Je répondais simplement à des gens comme ilario, qui voudraient foutre tout le monde au trou à la première engueulade un peu franche, sans s'indigner de la violence et de la laideur de notre société moderne. Où j'ai vu des flics sortir un tayser pour séparer deux ivrognes qui chahutaient gentiment, où on t'explique que certaines pensées ne sont plus des opinions mais des délits, où des huissiers à qui tu dois 183€ font enfoncer ta porte parce que t'étais coincé sous la douche au moment où ils sonnaient (expérience personnelle), et où même les contrôleurs sncf se trimballent avec de pleines escouades de miliciens, bergers allemands en laisse et tonfa au flanc. Si vraiment le premier problème de ces gens-là c'est "le sentiment d'insécurité" d'une tantine qui s'est faite traiter de pédé dans le Marais à 22 heures, où les femmes qui se prennent une gifle quand elles ont trompé leur mec en boîte, je crois qu'on n'a tout simplement pas la même conception de la violence. Et j'ai ressenti le besoin de le dire. Chose faite, je n'en parlerai plus.