- 29 nov. 2014, 20:57
#972748
Je lui ai envoyé ce message :
"Je pensais ou plutot j'espérais dans mon monde de bisounours que tu me réponde un truc comme "cest gentil de me souhaiter que ça fonctionne mais je te porte encore dans mon coeur.." au lieu de "Mais il part dans le sud.."
Tu n'a jamais su exprimer clairement ce que tu ressentais pourtant c'est soit tu aimes ou pas.
Quand je repense quil ya encore 1 semaine on dormait encore l'un à côté de l'autre, quand je repense à nos moments ou lon se rapproché, nos escapades par exemple, tous tes sourires, nos délires... quand Mariette t'a ouvert les yeux sur nous... Ces moments difficiles...
Tu disais que tu avais qqn dans ton coeur quand on te demandait si tu étais celib, ce qqn c'était moi..
J'entrevoyais un avenir ensemble après avoir vécu ces bons moments pendant autant de mois.
Ojd jai limpression que ct ya des années et ça me fout les boules à un point inimaginable pcq jai encore des sentiments énormes pour toi, je ne t'apprends rien...
Je me doutais pas te voir te rapprocher d'un autre garçon, pile au moment ou je te voyais moins pcq je voulais te faire réfléchir sur nous...
Ça ne servait à rien de prévoir quelque chose pour le nouvel an parce que c'était "loin".
J'aurais déjà dû m'en doutais quand tu as refusé mon invitation pour hunger games pcq ct "blindé", et qu'a la place tu as préféré accepter de boire un verre avec un "garçon gentil" en plein centre ville de Valenciennes pendant que je m'endormais et me réveillais en pleurant, tu avais déjà fait ton choix et pas la peine d'être ingénieur pour comprendre, c'est sûrement notre vécu récent qui me l'a empêché...
Je suis complètement retourné...
Quand on aime quelqu'un qui est amoureux aussi, on ne le laisse pas dans le doute pendant de longs mois pour finir par dire "Jaime bien ce garçon"
Ça devait être plus facile pour toi de toujours m'avoir auprès de toi sans prendre de "risque".
Il est temps que je me fasse une raison, comme toi tu te l'es faite. Seulement contrairement à toi, je ne pense pas faire ça sans scrupules..."
Et basta