ddf a écrit :Salut,
Voici quelques nouvelles !
Alors pour le medecin, après avoir discuté il m'as prescrit 2 trucs "très lèger" on va voir ce que ça va donner. (je souffrirais d'une depression lègère...)
Et faut que je fasse le deuil, etc...
Pour ma nouvelle relation avec A il m'as dis que c'était normal de "mettre des barrières" de ce protèger mais que cela ne dure qu'un temps à un moment il faut prendre le risque... A voir
La question que je me pose de plus en plus c'est :
Esce que j'ai du mal par ce que je recent des choses pour mon ex, ou parce que la comparaison avec mon ex n'est pas a son avantage (sans idéaliser mon ex), ou encore parce qu'on est juste pas fais pour être ensemble ?
En gros pourquoi esce que je n'arrive pas a avoir le déclic ?
ça fait 3 mois que l'ont se fréquente, je l'aime beaucoup mais pas amoureux pour l'instant. Au bout de combien de temps pour ceux qui ont déjà vécu ça, vaut-il mieux se résigner et arrêter la relation ?
Pour le sms et le mail pour mon ex je n'ai rien envoyé je réfléchis... Pour faire le deuil il ne faut pas de contacts. Mais c'est cette absence de contacts qui me rend triste (paradoxale).
1°) Ton "psy" t'a prescrit "des trucs légers" pour t'aider à "faire ton deuil" pendant ta "légère dépression"
2°) Il trouve normal que tu "mettes des barrières" pour "te protéger" dans ta nouvelle relation
3°) Il t'encourage à néanmoins à "prendre le risque"
4°) Tu ne sais plus bien où tu en es avec ta nouvelle, car "tu as des sentiments pour ton ex" et tu ne sais pas si "vous êtes faits pour être ensemble"
5°) Tu voudrais savoir pourquoi tu n'arrives pas au "déclic" affectif. Tu veux savoir au bout de combien de temps il convient de se "résigner, devant son absence de sentiment amoureux profond et de projet commun"
6°) Tu as du mal à gérer le "paradoxe de ta tristesse", et les "montagnes russes" de tes états d'âme pendant cette épreuve de la rupture
Et bien, je t'ai lu. Et je crois t'avoir compris. Fort heureusement, j'ai trouvé une solution à l'ensemble de ces 6 problèmes ! Tu devrais sans doute commencer par te castrer, si possible sous anesthésie, en virant complètement le scrotum mais en laissant le fourreau pénien en place une fois évidé. Les gonades ainsi récupérées te feront un joli pendentif (de petites cerises toutes mignonnes, si tu as chez toi du vernis à ongles rouge), et t'aideront à faire redescendre tes niveaux de testostérone. Tu n'auras alors plus qu'à passer aux antihormones et à l'oestrogène, et te faire rentrer le fourreau à l'intérieur, pour avoir une jolie petite chatte à peu près fonctionnelle.
Au terme de ces aménagements dérisoires autant que modiques, complétés par une série de petites opérations de chirurgie esthétique et reconstructive, on va pouvoir commencer à se lancer dans la gynécogénèse expérimentale de haut niveau : comme t'es pas encore tout-à-fait assez chialeuse et prise de tête pour faire une bonne gonzesse, il serait intéressant de voir ce qu'on peut essayer en neurochimie qui n'ait jamais été pratiqué sur l'espèce humaine. Je sais qu'on a eu des résultats intéressants avec des injections intraventriculaires d'ocytocyne (une grosse seringue directement dans le cerveau, en fait, pour faire simple) sur des brebis. En général, on leur shoote un peu de progestérone en même temps pour faire bonne mesure, et on les chauffe en leur foutant du courant électrique sur la moelle épinière pendant qu'une fuck-machine les "stimule" vaginalement. Je ne te cache pas que ces dernières étapes risquent d'être à la fois chères et un peu sportives, à vivre. Mais qu'est-ce-qu'on ferait pas pour être "bien dans sa tête et dans son corps", hein, copine ?
Allez, accroche-toi ! Je te promets qu'on va s'en tirer ...