- 23 mai 2017, 19:17
#1242974
B'jour tout le monde !
Pour sûr que ça fait un bail que je n'ai pas posté sur ce forum... Ouais, évidemment que j'ai également eu le droit à mes ruptures et leur cortège de manque de dignité et d’épanchement de fluides corporels. Enfin, c'est pas de ça que je veux causer, le problème est tout autre : je n'arrive pas à être en couple.
Non mais... Putain ! Reviens ! Je veux pas de conseils de drague !
Le problème de fond c'est que j'ai envie d'être en couple mais qu'à chaque fois que j'y arrive j'en perd l'envie. Je suis célibataire depuis juin dernier, ça va bientôt faire un an donc. C'était une perverse narcissique et j'ai mis du temps à m'intéresser à nouveau aux femmes.
De nature je fais partie de ces mecs qui horripilent les sexistes.
Ouais, les clichés sexistes envers les mecs existent aussi...
Enfin bref, pour m'expliquer : j'ai pas vraiment de problème si ce n'est un certain embonpoint et une banalité déconcertante. On m'a parfois reproché mon cynisme mais venant de juristes c'est presque un compliment, je crois. Quoi qu'il en soi depuis ma première copine je n'ai jamais eu de problème pour séduire, je pense que ça vient du fait que je prends peu de risques et que je m'intéresse à des filles qui me ressemblent pas mal.
Eh ouais les gars, qui l'eut cru ? Le secret de la réussite c'est de ne pas viser Emma Watson !
Enfin, les problèmes ont commencé quand j'ai voulu revenir sur le marché : monde capitaliste oblige.
Octobre, première conquête : c'est elle qui est venue vers moi, elle est mignonne, voir "bonne" comme ils disent, mais j'y vais à reculons parce que je ne la connais pas. Une éternité plus tard (2 semaines en fait) on s'embrasse sur les quais des Seine ; putain que c'est niais, putain que c'est beau. Classé sans suite : je n'arrive pas à m'intéresser à elle et elle le vit mal (sans blague ?).
Avril : ma meilleure amie se rapproche de plus en plus de moi, j'aime ça, on flirt, puis un jour (enfin, une nuit) elle me propose un plan du genre câlins pas très habillés chez elle. Je refuse, bordel ça jette un froid.
C'est notamment là qu'on rentre dans la lutte contre les clichés sexistes : non, tous les hommes ne cherchent pas à défourailler le premier minou venu. Certes beaucoup le savent, mais pas encore assez visiblement...
Vendredi dernier : je flirt avec une pote depuis quelques jours, c'est cool, on se ressemble vachement pour le coup. Contrairement à ma meilleure amie elle ne cherche pas à me traîner en boîte ni à une de ces soirées malaisantes dans un appartement inconnu. Elle me connaît - y a deux ans on a eu une aventure pas très glorieuse - donc elle parle ma langue : politique, bière et rando. Parfait. Vendredi soir, je me retrouve à nouveau sur les quais de Seine à fourrer ma langue dans sa bouche. Cool ! Ouais, sauf que je viens de passer le week-end à l'éviter, je ne l'ai pas encore revue et j'en ai pas envie. Jusqu'à vendredi elle me plaisait et là l'idée même d'être en couple m'emmerde au plus haut point.
Oui je sais que tu t'en tapes et que je dois conclure...
Ma question elle est là : je fais quoi ? Sérieusement, ça me gave cette situation. Surtout qu'elle, la petite dernière, je sais qu'elle se fait déjà des films et qu'elle va prendre d'autant plus cher en retombant. Enfin le problème n'est pas de savoir comment je fais pour la décevoir en douceur mais pourquoi je suis comme ça ? Je sais très bien que je vais finir par regretter ces 3 relations manquées ! Mais pour le moment la seule qui me plaît c'est ma solitude...
Bref. Bisous.
Pour sûr que ça fait un bail que je n'ai pas posté sur ce forum... Ouais, évidemment que j'ai également eu le droit à mes ruptures et leur cortège de manque de dignité et d’épanchement de fluides corporels. Enfin, c'est pas de ça que je veux causer, le problème est tout autre : je n'arrive pas à être en couple.
Non mais... Putain ! Reviens ! Je veux pas de conseils de drague !
Le problème de fond c'est que j'ai envie d'être en couple mais qu'à chaque fois que j'y arrive j'en perd l'envie. Je suis célibataire depuis juin dernier, ça va bientôt faire un an donc. C'était une perverse narcissique et j'ai mis du temps à m'intéresser à nouveau aux femmes.
De nature je fais partie de ces mecs qui horripilent les sexistes.
Ouais, les clichés sexistes envers les mecs existent aussi...
Enfin bref, pour m'expliquer : j'ai pas vraiment de problème si ce n'est un certain embonpoint et une banalité déconcertante. On m'a parfois reproché mon cynisme mais venant de juristes c'est presque un compliment, je crois. Quoi qu'il en soi depuis ma première copine je n'ai jamais eu de problème pour séduire, je pense que ça vient du fait que je prends peu de risques et que je m'intéresse à des filles qui me ressemblent pas mal.
Eh ouais les gars, qui l'eut cru ? Le secret de la réussite c'est de ne pas viser Emma Watson !
Enfin, les problèmes ont commencé quand j'ai voulu revenir sur le marché : monde capitaliste oblige.
Octobre, première conquête : c'est elle qui est venue vers moi, elle est mignonne, voir "bonne" comme ils disent, mais j'y vais à reculons parce que je ne la connais pas. Une éternité plus tard (2 semaines en fait) on s'embrasse sur les quais des Seine ; putain que c'est niais, putain que c'est beau. Classé sans suite : je n'arrive pas à m'intéresser à elle et elle le vit mal (sans blague ?).
Avril : ma meilleure amie se rapproche de plus en plus de moi, j'aime ça, on flirt, puis un jour (enfin, une nuit) elle me propose un plan du genre câlins pas très habillés chez elle. Je refuse, bordel ça jette un froid.
C'est notamment là qu'on rentre dans la lutte contre les clichés sexistes : non, tous les hommes ne cherchent pas à défourailler le premier minou venu. Certes beaucoup le savent, mais pas encore assez visiblement...
Vendredi dernier : je flirt avec une pote depuis quelques jours, c'est cool, on se ressemble vachement pour le coup. Contrairement à ma meilleure amie elle ne cherche pas à me traîner en boîte ni à une de ces soirées malaisantes dans un appartement inconnu. Elle me connaît - y a deux ans on a eu une aventure pas très glorieuse - donc elle parle ma langue : politique, bière et rando. Parfait. Vendredi soir, je me retrouve à nouveau sur les quais de Seine à fourrer ma langue dans sa bouche. Cool ! Ouais, sauf que je viens de passer le week-end à l'éviter, je ne l'ai pas encore revue et j'en ai pas envie. Jusqu'à vendredi elle me plaisait et là l'idée même d'être en couple m'emmerde au plus haut point.
Oui je sais que tu t'en tapes et que je dois conclure...
Ma question elle est là : je fais quoi ? Sérieusement, ça me gave cette situation. Surtout qu'elle, la petite dernière, je sais qu'elle se fait déjà des films et qu'elle va prendre d'autant plus cher en retombant. Enfin le problème n'est pas de savoir comment je fais pour la décevoir en douceur mais pourquoi je suis comme ça ? Je sais très bien que je vais finir par regretter ces 3 relations manquées ! Mais pour le moment la seule qui me plaît c'est ma solitude...
Bref. Bisous.