- 29 août 2014, 23:00
#936169
Bonjour,
Je vais faire succinct. Quitté très récemment, après une relation de trois ans et demi sans cohabitation et après un épisode amoureux des plus romanesque et amoureux ayant duré 1 an et demi, je viens de me faire larguer dans les formes.
De cet épisode, je ne tire, à mon grand age de quinqua, pour l'heure aucune leçon véritable, si ce n'est qu'une femme peut quitter lorsque chez elle meurt le sentiment amoureux des premiers temps et qu'il se transforme en affectivité, en difficultés à voir en l'autre autre chose que le prince charmant, et en témoignages d'amour moins proéminents chez son mec qu'aux premiers temps.
Comme une midinette, je viens ici, chercher un peu de réconfort, et en à apporter si je le peux.
D'autant que pour l'heure, j'en suis encore à juger ma rupture subie comme basée sur une injonction impossible de faire vivre le romanesque d'une relation, une fois les premiers temps éblouissants passés, autrement qu'en s'oubliant, (qu'en m'oubliant).
Se trompent-on toujours dans la phase de séduction ? Pour ensuite se découvrir ne pas pouvoir assouvir les parts de romanesque dont l'autre rêve ? (l'amour est peut-être très différent de l'état amoureux)
Merci de votre lecture (je suis dans la tristesse de la rupture là)
Nouveau sur le forum, et ayant à causer, je vous dis : "au plaisir de l'échange ici où là".
Je vais faire succinct. Quitté très récemment, après une relation de trois ans et demi sans cohabitation et après un épisode amoureux des plus romanesque et amoureux ayant duré 1 an et demi, je viens de me faire larguer dans les formes.
De cet épisode, je ne tire, à mon grand age de quinqua, pour l'heure aucune leçon véritable, si ce n'est qu'une femme peut quitter lorsque chez elle meurt le sentiment amoureux des premiers temps et qu'il se transforme en affectivité, en difficultés à voir en l'autre autre chose que le prince charmant, et en témoignages d'amour moins proéminents chez son mec qu'aux premiers temps.
Comme une midinette, je viens ici, chercher un peu de réconfort, et en à apporter si je le peux.
D'autant que pour l'heure, j'en suis encore à juger ma rupture subie comme basée sur une injonction impossible de faire vivre le romanesque d'une relation, une fois les premiers temps éblouissants passés, autrement qu'en s'oubliant, (qu'en m'oubliant).
Se trompent-on toujours dans la phase de séduction ? Pour ensuite se découvrir ne pas pouvoir assouvir les parts de romanesque dont l'autre rêve ? (l'amour est peut-être très différent de l'état amoureux)
Merci de votre lecture (je suis dans la tristesse de la rupture là)
Nouveau sur le forum, et ayant à causer, je vous dis : "au plaisir de l'échange ici où là".