- 15 juil. 2014, 23:50
#914993
Bonsoir! 
Petit retour d'expérience comme je l'ai fait régulièrement.
Cela fait 8 mois depuis notre séparation environ!!!
Au début, déni... silence... indifférence... conviction de vouloir passer à autre chose tout en restant convaincue que forcément ... il allait revenir, il devait revenir... j'en ai passé des heures, des siècles à lire les posts de jrme!!
Mais non....
C'est lui qui a rompu, et mal... par sms.
Nous nous sommes quitté très fâchés, chacun convaincu de la culpabilité de l'autre.
Nous ne nous sommes plus jamais parlé, aucune explication claire.
C'est sans doute entre autre pour cette raison que cette rupture a été si difficile pour moi - cette absence d'échange - de conclusion partagé de l'Histoire...
J'ai été très en colère. J'ai voulu me venger... en bloquant son adresse de messagerie par exemple et entre autre.... puérile mais spontané lorsque je me suis aperçue qu'il s'était trouvé une nouvelle donzelle qu'il a connu et avec qui il a échangé régulièrement au moins trois mois avant notre séparation (et dont bien sûr, il ne m'avait jamais parlé!).
Cette séparation a été pour moi insupportable... j'ai bien sûr pensé au pire, compté les heures, me suis lancée dans des relations incohérentes et sans avenir pour avoir le sentiment de revivre un peu..... et pourtant, une part de moi était définitivement morte....
J'ai perdu 10 kg, me suis laissée mourir également intellectuellement, n'était plus disponible comme je me le devais pour mes enfants.
Il s'était mal comporté mais je l'aimais.
Malgré la conscience profonde que la fin de cette relation était nécessaire, je n'arrivais pas à l'accepter.
Combien de mois, d'heures, à ressasser cette profonde souffrance qui vous grignote tout entier et fait de vous un légume lobotomisé, prêt à pleuré au premier resto, livre, série, couché de soleil, etc.... que vous croisez et qui vous rappelle lex...
8 mois après, où en suis-je dans ma tête?
Je ne pense plus à lui, plus pareil.
Il se passe des jours sans que je ne pense plus du tout à lui.
Je n'ai plus cette souffrance permanente, incorrigible, tout au fond du ventre...
Quand je le vois, mon cœur ne bat plus la chamade.
La dernière fois, je me suis retrouvée face à lui et je me trouvais moi-même en compagnie de "nouveau chéri", avec qui je suis depuis 4 mois.
Je me suis même demandée ce que j'avais pu lui trouver physiquement, en comparaison de chéri.
Et psychologiquement, lui et son côté obscur, lui qui pleurait tous les soirs et que la nécessité poussait chez le psy chaque semaine....
Il n'est toujours pas heureux.... malgré qu'il soit toujours avec sa next, il n'apparaît toujours pas heureux....
Il semble tirer derrière lui une charrette de fantômes, triste ombre pénétrante qui ne le quitte jamais.
Je n'ai plus le besoin, plus l'envie de le harceler.
La colère est tombée et a laissé comme un vide profond, que je ne cherche même plus à combler et que j'ai tendance à oublier.
Ce vide ne m'empêche plus d'avancer.
Je me suis reconstruite avec cette blessure, certes profonde mais presque entièrement cicatrisée.
Presque me diriez-vous?
Ce serait "totalement", je ne serais plus là pour vous en parler.
Il me reste comme ce besoin, très ponctuel, de venir sur jrme, consulter essentiellement la rubrique "ne plus récupérer".
Comme pour occuper mes derniers, tout derniers questionnements qui peuvent ressurgir au détour d'une mauvaise nuit ou d'une pensée soudaine.
Cette souffrance, violente, fait partie de ma vie, comme une maladie grave dont on se sort et qui nous laisse marqué au fer rouge, et que l'on ne peut pas, que l'on ne pourra jamais oublier.
Ma prochaine étape, la définitive, serait de ne plus venir du tout sur jrme!!!
Aujourd'hui je sais vivre sans lui, je vis sans lui, et je sais être heureuse pour moi et les miens!
Petit retour d'expérience comme je l'ai fait régulièrement.
Cela fait 8 mois depuis notre séparation environ!!!
Au début, déni... silence... indifférence... conviction de vouloir passer à autre chose tout en restant convaincue que forcément ... il allait revenir, il devait revenir... j'en ai passé des heures, des siècles à lire les posts de jrme!!
Mais non....
C'est lui qui a rompu, et mal... par sms.
Nous nous sommes quitté très fâchés, chacun convaincu de la culpabilité de l'autre.
Nous ne nous sommes plus jamais parlé, aucune explication claire.
C'est sans doute entre autre pour cette raison que cette rupture a été si difficile pour moi - cette absence d'échange - de conclusion partagé de l'Histoire...
J'ai été très en colère. J'ai voulu me venger... en bloquant son adresse de messagerie par exemple et entre autre.... puérile mais spontané lorsque je me suis aperçue qu'il s'était trouvé une nouvelle donzelle qu'il a connu et avec qui il a échangé régulièrement au moins trois mois avant notre séparation (et dont bien sûr, il ne m'avait jamais parlé!).
Cette séparation a été pour moi insupportable... j'ai bien sûr pensé au pire, compté les heures, me suis lancée dans des relations incohérentes et sans avenir pour avoir le sentiment de revivre un peu..... et pourtant, une part de moi était définitivement morte....
J'ai perdu 10 kg, me suis laissée mourir également intellectuellement, n'était plus disponible comme je me le devais pour mes enfants.
Il s'était mal comporté mais je l'aimais.
Malgré la conscience profonde que la fin de cette relation était nécessaire, je n'arrivais pas à l'accepter.
Combien de mois, d'heures, à ressasser cette profonde souffrance qui vous grignote tout entier et fait de vous un légume lobotomisé, prêt à pleuré au premier resto, livre, série, couché de soleil, etc.... que vous croisez et qui vous rappelle lex...
8 mois après, où en suis-je dans ma tête?
Je ne pense plus à lui, plus pareil.
Il se passe des jours sans que je ne pense plus du tout à lui.
Je n'ai plus cette souffrance permanente, incorrigible, tout au fond du ventre...
Quand je le vois, mon cœur ne bat plus la chamade.
La dernière fois, je me suis retrouvée face à lui et je me trouvais moi-même en compagnie de "nouveau chéri", avec qui je suis depuis 4 mois.
Je me suis même demandée ce que j'avais pu lui trouver physiquement, en comparaison de chéri.
Et psychologiquement, lui et son côté obscur, lui qui pleurait tous les soirs et que la nécessité poussait chez le psy chaque semaine....
Il n'est toujours pas heureux.... malgré qu'il soit toujours avec sa next, il n'apparaît toujours pas heureux....
Il semble tirer derrière lui une charrette de fantômes, triste ombre pénétrante qui ne le quitte jamais.
Je n'ai plus le besoin, plus l'envie de le harceler.
La colère est tombée et a laissé comme un vide profond, que je ne cherche même plus à combler et que j'ai tendance à oublier.
Ce vide ne m'empêche plus d'avancer.
Je me suis reconstruite avec cette blessure, certes profonde mais presque entièrement cicatrisée.
Presque me diriez-vous?
Ce serait "totalement", je ne serais plus là pour vous en parler.
Il me reste comme ce besoin, très ponctuel, de venir sur jrme, consulter essentiellement la rubrique "ne plus récupérer".
Comme pour occuper mes derniers, tout derniers questionnements qui peuvent ressurgir au détour d'une mauvaise nuit ou d'une pensée soudaine.
Cette souffrance, violente, fait partie de ma vie, comme une maladie grave dont on se sort et qui nous laisse marqué au fer rouge, et que l'on ne peut pas, que l'on ne pourra jamais oublier.
Ma prochaine étape, la définitive, serait de ne plus venir du tout sur jrme!!!
Aujourd'hui je sais vivre sans lui, je vis sans lui, et je sais être heureuse pour moi et les miens!
- Par Ethan101